


Dans ce projet, j’ai voulu évoquer la haine de la redoutable Reine de la nuit (Flûte enchantée de Mozart) en déchirant, accumulant et stratifiant. La coiffe se déploie en plusieurs pics aussi stridents que sa voix au fur et à mesure du chant. Plus elle monte dans les aiguës plus les pics se font grands, allant jusqu’à un mètre.





Suite à l’observation du fonctionnement d’une longue vue, j’ai transféré son principe sur plusieurs cylindres dont les extrémités étaient reliées par des fils pour pouvoir être associés ensembles sans se défaire.


















